J’espère …. ou comment ne pas y arriver !!

« J’espère « . Croyez-vous que Pasteur ait révolutionné la médecine moderne avec un « j’espère que cela va marcher » ? Ou que Jack Ma (le fondateur d’alibaba) ait fait 33 Milliards de fortune personnelle, avec un « j’espère que c’est une bonne idée » ?

« J’espère » La pensée qui se cache derrière ce mot c’est « je voudrais bien que cela arrive mais j’en doute ». Et là effectivement La seule manière pour que ça arrive c’est que quelque chose extérieure à moi le crée, parce que moi je ne suis pas engagée dans le processus.

« J’espère » entretient l’idée que les événements de Ma Vie seraient dépendants d’une force extérieure : Dieu, le destin, La chance, le loto, le prince charmant, … Bref un sauveur quelconque qui trouverait le chemin jusqu’à moi …. Ou pas

 

C’est possible oui. Mais est ce que c’est probable?

J’en doute, donc je pourrais être déçue si je m’engage. Et d’ailleurs comme La solution est extérieure à moi pourquoi m’engager ?

Personne ne souhaite vivre la « douleur de la déception » donc je ne m’engage pas, je ne m’investis pas. Et si cela arrive (par miracle ) tant mieux, sinon je n’aurais rien perdu d’autre qu’un peu d’espoir… mais bon je m’y attendais alors ça ne fait pas mal.

Et ben à ce compte là on n’est pas rendu !

Ma vie est ma création. J’en suis l’auteur, le réalisateur et l’acteur. Si je veux que quelque chose s’y passe, je dois l’imaginer certes mais aussi me donner les moyens que cela se réalise. Je dois agir en ce sens. Pour passer à l’action, y mettre de l’énergie et aller au bout l’espoir ne suffit pas. La création demande de l’engagement. Il lui faut la conviction de « je sais ».

« Je sais que c’est possible », « je sais que je peux le faire ». 

Utiliser « je sais » plutôt que « j’espère » me permet de m’engager, de prendre part à l’action. Ce que je sais je ne le questionne pas, je ne le mets pas en doute, c’est une évidence pour moi. Le cerveau fait confiance à ce qu’il sait. Ce sont des données stables, éprouvées, sans risque ou dont le risque est connu et donc pour lequel il a une réponse.

Par contre ce qui vient de l’extérieur, les données « douteuses » avec une part d’inconnu représentent un risque potentiel vers lequel il est peu enclin à nous amener. Il n’insuffle pas l’énergie de l’engagement parce que ….. »On ne sait jamais ».

Essayez donc de créer quelque chose de splendide ou de solide avec « j’espère et .. on ne sait jamais », ne serai-ce qu’une nouvelle recette de gâteau, un entretien, ou rencontrer quelqu’un. Et puis essayez avec « je sais que je peux le faire. » Et mesurer le delta votre énergie entre les deux.

 

Il était une fois une histoire d'émotions : le journal

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